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Juges politiques contre l'état de droit.

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    votrefrancequebec
  • 31 mars
  • 3 min de lecture

Dernière mise à jour : 4 avr.

Mme Le Pen, digne lors de son entrevue le 31 mars 2025
Mme Le Pen, digne lors de son entrevue le 31 mars 2025

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COMMUNIQUÉ DE PRESSE - Montréal, le 31 mars 2025

Votre France s’élève avec la plus vive énergie contre la condamnation de Marine Le Pen, ce 31 mars 2025 à une peine d’inéligibilité avec effet immédiat ce qui l’écarte probablement de la course à la présidence privant ainsi des millions d’électeurs de leur candidate. 

Nous considérons que le caractère politique de ce procès a pris le pas sur le droit et le bon sens commun et nous lui adressons tout notre soutien. Nous invitons les patriotes de tous bord à se rencontrer ce samedi 5 avril à 16h pour échanger sur les dangers des gouvernements des juges et en soutien à Mme LePen. (Nous contacter pour connaitre les détails)

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Les faits reprochés concernent des contrats d’assistants parlementaires locaux ayant travaillé pour le parti RN sans enrichissement personnel. Le dossier est construit sur la base du travail que doit fournir un assistant parlementaire européen. Ce qui aurait dû rester un différent d’interprétation administrative entre le parti à la flamme et Bruxelles est devenu une affaire placée en 2017 entre les mains de la justice française.


Il l'avait vu...(1997)
Il l'avait vu...(1997)

Rappelons que Francois Bayrou dans la même situation fut relaxé alors que son parti fut condamné  pour les mêmes faits,  mais qu'il est premier ministre en attendant le jugement en appel. 

Rappelons que Jean Luc Mélenchon fait face à la même accusation,  mais que l'instruction est lente, très lente depuis des années.

Rappelons aussi que les assistants parlementaires ne sont pas des fonctionnaires et que leur travail n'a pas à être contrôlé par des juges. 

Ce jugement rendu exécutoire empêche, par son effet immédiat la suspension des procédures et le maintien du statu quo, il piétine la présomption d’innocence, pourtant garantis ensemble par la constitution et offerts à tout justiciable lors d’un recours en appel. Il y a de quoi être interpellé.

Pour justifier l'exécution immédiate, situation quasi inédite tournant le dos à l'état de droit,  la magistrate évoque la défense (Marine Le Pen plaidant la non-culpabilité, elle pourrait récidiver bien que n’étant plus députée européenne), le risque à la sécurité et le"trouble irréparable à l’ordre public démocratique qu’engendrerait le fait qu’elle soit candidate, voire élue." (extrait du jugement).


Arguments pour le moins questionnables.

Cette sentence illustre la disproportion entre une faute commise et la lourdeur de la condamnation. Ce décalage n’est pas sans rappeler des précédents politiques empêchant des candidats d’opposition d'accéder aux plus hautes fonctions. Ce qui hier semblait impensable en droit devient une réalité. 

La cour d'appel de Paris a annoncé la date de juin 2026, pour une reprise du procès et une décision à l'été 2026 sans garantie ni précision. Il faudra donc attendre le bon vouloir des juges pour que l’appel se fasse et qu’un renversement du jugement puisse éventuellement être prononcé. Dans les circonstances il reste possible que cet appel ne puisse pas avoir lieu avant l’échéance présidentielle de 2027. 


En 2013 déjà, le mur des cons du syndicats de la Magistrature désignait ceux à abattre
En 2013 déjà, le mur des cons du syndicats de la Magistrature désignait ceux à abattre

Encore une fois, nous assistons à une illustration flagrante du gouvernement des juges. Trois juges s'octroient  le droit de décider à la place des français quelles sont les idées acceptables et celles qui sont désormais interdites. De décider qui peut être candidat à la présidence en empêchant les opposants de se présenter, privant le peuple français de son droit fondamental à choisir entre toutes les tendances et idées politiques son représentant à la plus haute fonction. 

On peut s’interroger sur la légitimité d’un tel pouvoir en regard des millions d’électeurs qui souhaitent voir Marine Le Pen se présenter à l’élection présidentielle. Rappelons ici ce que De Gaulle lui-même disait: La Cour Suprême de la France, c’est le peuple.

Ce 31 mars est un jour sombre pour la justice elle-même . Nous assistons à une asphyxie de l’opposition pacifique et démocratique par tous les moyens y compris maintenant en se servant de la loi pour abattre un opposant dont on ne peut pas empêcher la progression dans les urnes.


Le peuple de France mérite mieux que des décisions judiciaires à caractère politique et Votre France continuera son action de rassemblement et de soutien à tous les acteurs du camp national. Votre France

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